
Leur glissade vers la mort, inéluctable, s'accompagne de langoureux travellings qui donnent à l'ensemble un air de marche funèbre. Et toute la beauté du film est de faire de cette élégie un chemin vers la joie.
Mourir comme un homme semble parachever un itinéraire vers les sommets cinématographiques, on y trouve associées l'amplitude des grandes tragédies à la cohérence de propositions plastiques d'une richesse exceptionnelle.
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