
Pour un film de 1956, cette œuvre garde sa facette moderne.
The Killing, une des premières œuvres de Kubrick où s'imposent déjà des jeux d'ombres et lumières, des images somptueuses et une narration originale (différents points de vue sur la même scène) qu'il filme magistralement. Le rythme est bien tenu, l'interprétation parfaite, le scénario impeccable : un premier film réussit à tout point de vue.
On sent déjà bien présents des thèmes chers à Kubrik comme la situation de la femme, l'attrait de l'argent (la tempête d'argent de la fin !), la probité morale, la naïveté, ...